Ôde à l’âme cubaine

Bonjour à tous et bienvenue à Cuba, une série de Podcasts en 3 épisodes, intitulée ALMA, Âme Libre et Métissage Authentique #2, Ode à l’âme cubaine.

Cette série va vous faire découvrir un autre visage de Cuba, loin des clichés de l’île paradisiaque, des plages de Varadero, des cigares, du rhum et de la salsa. À travers des interviews de trois femmes cubaines, Adriana, Tatiana et Yadira, que j’ai rencontrées au cours de mon séjour là-bas.

La place de la famille dans la société cubaine

Nous nous retrouvons à Cuba pour ce 3e et dernier épisode de la série sur la culture cubaine. Après une découverte et une immersion dans le monde de la musique et de la danse, des racines et de l’identité du peuple cubain, puis des liens musicaux étroits entre Cuba et les Etats-Unis, nous clôturons cette découverte par le sujet de la famille, de la place de la femme surtout dans la société cubaine, et des enfants.

Nous verrons l’importance de la famille et de l’unité familiale, de la femme et des enfants, ainsi que l’évolution de la place et du rôle de chacun dans la société. 

Nous parlerons du code de la famille, du mariage, de machisme bien sûr, de séparation…

Je repars très bientôt pour un nouveau séjour de coopération académique dans ce pays si riche et si démuni, si extraordinaire et attachant, souffrant de pénuries de toutes sortes et où toutes les infrastructures sont à reconstruire. 

Un pays presque abandonné, où le temps s’est arrêté, où toutes sortes de paradoxes se superposent, et où l’ingéniosité et la créativité du peuple est décuplée pour survivre…

Je vais donc continuer mes reportages de découvertes et vous partagerai à mon retour un nouveau Podcast…

En attendant, très belle écoute à vous!

Crédits

Réalisation et montage :  Hélène Abadie et Laurie Le Brouster

Mixage : Sébastien Boutin 

Crédits musiques : 

  •  Lágrimas Negras, Cuba Feliz
  • Vida Parrandera, Kiki Valera
  • Las Mujeres, Alex Cuba
  • Que se queme el arroz, La Reyna y la Real
  • Amor de madre, Orishas
  •  Amame como soy, Omara Portuondo.